Bien le bonjour à tous,
Voilà désormais un an que j’ai attrapé ce vilainvirus. Tout s’est déroulé très sournoisement… A 46 ans, J’ai voulu arrêter defumer sans prendre 20kg. Je suis donc allé rechercher mon vieux vtt (Rockrider5.2 de 2006) au fond du garage pour me lancer sur les sentiers autour de chezmoi.
Mal m’en a pris. Tout est allé très vite. Pourtant,rien ne fut facile au début. Mon parcours habituel faisait à peine 18km. J’ensortais chaque fois rincé, avec l’étrange impression que ma cage thoraciqueallait exploser pour expulser mes poumons.
Aussi incroyable que ça puisse paraître, j’airapidementéprouvé du plaisir. Sans m’enrendre compte, je suis devenu accroc. Mon vtt a très vite atteint ses limites.J’en ai acheté un nouveau plus adapté (Rockrider 560). Pour continuer àéprouver les mêmes sensations, j’ai été contraint de passer plus de temps surmon vélo. L’augmentation des distances s’est imposée tout comme la recherche du« rendement ». J’ai compris que dans « le plat pays qui est lemien » (dixit Jacques Brel), un 29 pouces serait plus efficace (TrekX-Caliber 9)…
Le manque est toujours présent. Pour ne pas lesubir, je dois accumuler les km. Je ne suis satisfait que lorsque je peuxsortir au minimum 2 fois par semaine. 3, 4 ou même 5 sorties quand c’estpossible, tout est devenu « normal ». J’ai vite compris qu’il fallaitque je m’initie à la mécanique pour assouvir mon vice sans vider monportefeuille. Les sorties, c’est bien, nettoyer le VTT, c’est parfoisfastidieux. Pourtant, je dois sortir ! J’ai commencé à sortir mon vtt surla route. Mais le bitume avec un vélo fait pour le tout-terrain, c’est pas letop et… J’ai acheté un route (Trek Emonda S4). Désormais, le mal me faitalterner les sentiers et la route…
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Encore un drogué de Belgique!
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