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Race Across France 2021 Noter : -----

#1 L'utilisateur est hors-ligne   seb24s 

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Posté 22 novembre 2020 à 12h31

Salut tout le monde !

J’ai re signé pour le RAF 2600km en solo.

https://www.raceacro...-across-france/

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#2 L'utilisateur est hors-ligne   didier95 

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Posté 22 novembre 2020 à 12h52

A ton soutient oui :D
Montures : Un Pur sang Italien, une fusée rouge (en retraite) et un bout de bois de dépannage sur le HT !
https://www.facebook.com/AC2V95
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#3 L'utilisateur est hors-ligne   AlexJ 

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Posté 22 novembre 2020 à 12h54

Découvert cet évènement il y a peu. Une sacrée course !
Comme tu signales que tu as re-signé, cela signifie que tu l'as déjà faite une fois. Sur la même distance ou sur une distance moindre ?
Quels conseils pour arriver au bout d'un tel kilométrage ? Un entraînement spécifique ?
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#4 L'utilisateur est hors-ligne   seb24s 

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Posté 22 novembre 2020 à 13h03

Le 300km en 2019, découverte des longues distances, puis 2600km en 2020.
Je fais parti de ceux qui pensent que le mental c’est 60% de la réussite, avec 30% de santé physique et 10% de matériel optimisé efficient.
Pour la préparation, juste je roule quand je peux. Je ne me force jamais. Le vélo doit rester du plaisir.

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Ce message a été modifié par seb24s - 22 novembre 2020 à 13h07.

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#5 L'utilisateur est hors-ligne   didier95 

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Posté 22 novembre 2020 à 13h24

Je remet un lien sur le post de celle de 2020 comme cela c'est plus simple https://forum.velode...ez/page__st__60

Ce message a été modifié par didier95 - 22 novembre 2020 à 13h25.

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#6 L'utilisateur est hors-ligne   seb24s 

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Posté 30 novembre 2020 à 20h50

Pour ceux qui hésitent, dépêchez vous, c'est bientôt full niveau inscriptions.
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#7 L'utilisateur est hors-ligne   seb24s 

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Posté 24 février 2021 à 13h14

Pour vous insipirer, ou vous effrayer... J'ai couché quelques souvenirs du RAF 2020 ou j'étais engagé sur le parcours de 2600km, que je bouclerai en 7 jours et 11h.

SAINT-JEAN-EN-ROYANS, 16 Aôut 2020.
7h40, j’arrive à St-Jean-en-royans. Base vie n°2 ! C’est un gymnase, tous les espoirs sont permis, une douche chaude, un matelas de sol pour s’allonger, un café avant de repartir, une recharge de ma batterie externe. Et mon 2ème drop bag avec des fringues propres ! Tout a tenu ses promesses, sauf la douche chaude. Pas d’eau d’eau chaude, de l’eau froide ! Dur. Très dur. J’ai du mal à me mettre sous l’eau. Puis j’ai oublié de mettre du savon dans mon drop bag. Ce sera donc douche froide, qui lave pas vraiment… Je me me glisse dans mon Bivy, m’allonge sur un tapis de gym, dans un coin isolé du gymnase. Je prévois 1h de sommeil. Kelly arrive quand je me couche. J’ai du mal à dormir. Je laisse tomber. Je m’habille, bois un dernier café, chope de la Vitaline et me remets en route. Je repars en même temps que Stéphane Laurent et Pierre Charles , direction les gorges de la Bourne. C’est très joli, mais c’est un sacré faux-plat montant. J’ai le temps d’admirer le paysage. Assez vite je largue Stef, Pierre part devant. Je suis dans le trafic. voitures, motos, je serre à droite, et serre les fesses de ne pas me faire accrocher. J’ai de bonnes jambes. Ca m’étonne presque. Plateau du Vercors, ça roule pas vite, mais ça roule, puis descente sur Grenoble. Je passe à Vizille, devant la maison de Stélian. Direction Bourg d’oisans par la Nationale. L’Alpe d’Huez, je le connais bien ce col. IRL et Zwift. Bref, je suis en terrain connu. Il fait chaud en bas, je monte tranquille. Je me fais déposer par tous les cyclos, inhabituel pour moi… Le constat est dur, je me rends compte que j’avance pas. Les jambes sont là, pas de douleur, le coeur est là, il ne veut plus monter dans les tours. Bref, je suis en forme mentale, mais fatigué physiquement. J’enchaine les virages, je les compte. Je sais ce qui m’attend, pas de decouverte. D’un coup, arrive derrière moi un concurrent avec assistance. Il doit me rester reste 3 ou 4 virages. Vélo sans sacoche, il me double. Ses véhicules me doublent. Je m’accroche. Je remonte. Je finirai au sommet avant lui. Il jouait le record de l’épreuve il devait s’économiser, mais ça ma boosté de vouloir passer le panneau avant lui. Au sommet, ma chèrie Odile m’attend. Je ne reste que 10 minutes avec elle. Pas sympa… Elle comprend que malheureusement je suis un peu dans le dur et que ces 10 minutes, c’est tout ce que j’ai à offrir. Je veux y retourner. C’est la fin de l’après-midi. La température descend vite en altitude. Je ne veux pas trainer pour monter au col de Sarennes. C’est reparti. Je regarde la météo sur mon téléphone, c’est pas bon… Orages annoncés sur le Galibier. Et avec mon rythme, je devrais y arriver vers 20h, en plein orage. Je suis là pour rouler, alors je roule. Dans la montée au col de Sarennes, je retrouve Loic. Dans la descente, technique, sur une route bien ourrie, je me félicite d’avoir assez bien roulé pour faire la descente de jour. Au bout de quelques virages, je dépasse Sonke . Me voilà en bas, au bord du lac, je m’enfile dans les tunnels direction la Grave. Je déteste cette route. Dans les tunnels, ça pue, il fait froid, c’est étroit, tout ce que je déteste et ce qui fait que je préfère le vtt ! 20h, la Grave. Je fais mon habituelle photo du glacier de la Meije. C’est beau. Je prends 5 minutes pour bouffer ma dernière barre de céréales en contemplant ce haut lieu du free ride, ski, et vtt comme j’aime. 19h15. J’ai faim. Je vais voir si je peux choper une pizza à mon snack habituel de quand je suis là bas. Ils refusent de me servir. Trop tard. Je regarde la météo, les orages sont toujours annoncés sur le Galibier. Je me décide de dormir à la Grave. Faut savoir renoncer, être sage. Hôtel plein. Je rêvais de la douche chaude que je n’avais pas eu le matin. Je suis fatigué. Je déprime. J’hésite. Je conclue que je vais essayer de me trouver une petit coin discret pour dormir 2h. Puis là, qui me passe devant alors que j’étais arrêté, Lepoutre Loic ! Il me crie en passant qu’il va dormir à Valloire, que ce n’est pas stratégique de s’arrêter si tôt à la Grave, qu’il faut passer ce soir le Galibier. Loic s’est réservé une chambre à Valloire, à l’hôtel Tatami. Je sors mon téléphone, je fais de même. J’appelle le patron, il m’attend pour 23h, mon heure d’arrivée estimée. Ca me booste, un peu. J’ai un but, un objectif, une motivation ! J’essaie de rejoindre Loic qui roule quelques centaines de mètres devant moi. La nuit est tombée, il doit être dans les 21h. A mi chemin entre la Grave et le Lautaret, les premières gouttes tombent. Loic accélère, moi je m’arrête pour mettre ma veste de pluie. Je perds Loic, je vais finir seul jusque Valloire. Dur pour le moral. La pluie redouble. Ca y est… L’orage est là. Je finirai la montée du Lautaret sous des trombes d’eau avec ma veste de pluie comme unique protection. Pas de gants, pas de jambière, pas de bonnet, je suis trempé et j’ai froid. Mes genoux commencent à se bloquer… J’arrive au Lautaret, tout est éteint, il doit être un peu plus de 22h. De l’animation devant l’hôtel restaurant, un pauvre patou a été renversé par un touriste, juste au col. Personne ne remarque le pauvre cycliste trempé qui passe devant eux. Il est temps de m’habiller avec tout ce que j’ai de chaud. Sur la terrasse vide de l’hôtel restaurant, une sorte d’abri. Je me cale dans un coin, à l’abri du vent. J’enfile tous mes fringues. Moral en berne. Le réconfort de la chambre d’hôtel de Valloire me semble très loin. Je me décide de rendre les armes. Faut savoir renoncer, s’arrêter. Je vais voir à l’hôtel restaurant si je peux manger un morceau, et prendre une chambre d’hôtel. Je rentre dans le sas de l’hôtel et y laisse mon vélo. Je rentre dans le restau. Un serveur m’interpelle, « pas ici le vélo, faut le laisser dehors ! ». D’accord, je m’exécute. Je lui dis que je suis en galère, qu’une chambre m’attend à Valloire, mais que je pense ne plus avoir les forces, et le mental (…) pour y arriver. Je souhaite prendre une chambre. Le serveur me répond qu’ils n’ont plus de draps propres (fin de saison, ils fermaient le lendemain). Ca me posait pas vraiment de soucis des draps sales… Mais il revient sur ses mots et me dit qu’ils n’ont aussi pas de chambre disponible. Il ne voulait pas s’embêter avec 5 minutes de travail en plus je crains… Il ne me propose aucune aide. Un bout de banquette dans le restaurant, m’aurait suffit mais non, rien. Il n’a pas pitié de moi. Pas possible de manger non plus, les frigos sont vides. Je commande un chocolat chaud. Va falloir y retourner. Dehors, un mur de flotte, des éclairs qui illuminent tout le col et le tonnerre qui le fait résonner. Le patron, derrière le bar, m’interpelle « vous faites quoi ici à cette heure là ». J’explique d’où je viens, ou je vais, que mon plan était d’aller dormir à Valloire mais que je doutais de mes forces. Enfin un peu de compassion, mais pas plus arrangeant pour le loger dans un coin… Il m’indique que c’est pas sérieux de rouler par un temps pareil… Merci, je le sais… Il me dit que le refuge juste au dessus est encore ouvert et peut être pas plein et qu’il va donc appeler son pote que le gère. Ca sonne, ça sonne, ça sonne, ça répond pas. Désolé qu’il me dit. Bon, va falloir y aller. Moment très dur. J’ai Arnaud Manzanini par whatsapp que me demande de ne pas prendre de risque avec l’orage. Pas le choix, faut que je parte de cet endroit que je maudis. Mon père, Alain, avec qui j’échange par message me dit rester sur place, de revendiquer mon droit à être hébergé, sauvetage en montage. Pas mon genre, j’ose pas. Mon chocolat chaud est terminé. Je me sais un peu en danger mais faut y aller. Je vais pour mettre mes gants pour finaliser ma tenue pour affronter les intempéries. Impossible de les mettre ! Mes doigts ne rentrent pas, la doublure intérieure (membrane sealskinz) se vrille. Je m’énerve. je ne peux pas repartir sans gants. Puis un moment de lucidité, je vais utiliser le manche de ma fourchette pour m’en servir de chausse-doigt ! Doigt après doigt s’enfile dans la chaleur sèche de mes gants. 5 minutes pour rentrer les 10 doigts. je pose mon « chausse-doigt » sur le rebord d’une fenêtre, mets mon casque, pars et oublie ma fourchette, snif… Adieu ma fourchette. Je repars du Lautaret et là, miracle, la pluie s’arrête, l’orage s’éloigne. Petit moment de bonheur ! J’attaque la montée du Galibier. Mon euphorie retombe vite… Un brouillard épais tombe, froid, humide. Je ne vois pas à 5m. La route est étroite, exposée, sans parapet. Faudrait pas tomber… Surtout que je fatigue, je monte avec peine, je zigzague, subit des micros endormissement. C’est dangereux. Je me force à rouler au milieu des deux lignes blanches. Quelques voitures me doublent, je fais de mon mieux pour serrer à droite sans alors trop près du vide. Me voilà au sommet ! 23h10, je fais la classique photo du panneau. Arrive le tunnel, je ne sais pas trop par où il faut passer, par le tunnel ou pas. Message à l’orga, qui me renseigne. Vive la 4G… Reste à descendre sur Valloire où m’attend un bon lit ! Sauf que voilà, la météo n’en avait pas fini avec moi. Il tombe des trombes d’eau de l’autre côté, j’ai rarement vu des gouttes aussi grosse. La route devient un torrent. Toute la descente se fait à moins de 30km/h. Je freine, en continue. Mes avants bras se tétanisent. Un calvaire. Moi qui aime tant descendre, freiner tard et trajecter avec finesse… J’ai les pieds qui flottent dans les chaussures. Des poussins rouge dans un bocal… Je ne vois rien, l’impression que ma lampe n’éclaire plus (je comprendrai la nuit d’après, que la lentille s’était rempli d’eau, comme le phare d’une vielle voiture rempli d’eau. Je la viderai et ce sera réglé). Mais bon, ça descend, direction le tatami. La descente m’est interminable. Entre le Galibier et Valloire c’est bien 20km au moins. Pas de lumière de ville au loin, pas d’espoir d’enfin revenir à la civilsation. Enfin, après des très longues minutes, j’entre dans Valloire. Je trouve un endroit abrité, sous une tente ESF. Je veux lancer Waze pour rentrer l’adresse de l’hôtel. Avec mes gants trempés, impossible, l’écran tactile de mon iPhone ne veut pas. J’essaie Siri, pas assez de réseau. Finalement je tape « hôtel tatami » avec le nez. Pas simple… Lettre par lettre. Ça fonctionne. Reste 10km pour y arriver ! C’est très grand Valloire ! Partout des flaques énormes. J’ai l’impression de m’être baigné tout habillé. Là, je suis au bout de ma vie… Je ne pense plus à rien, je suis vide. J’arrive là où Waze m’emmène, je ne trouve pas l’hôtel. J’en ai marre du vélo. Puis si, un peu plus loin, je vois une lumière. L’Hôtel Tatami est là ! Il doit être bien 1h du matin, nous somme les 17 Août. Le patron m’accueille chaleureusement. Loic est là, à table. Il porte la doudoune sans manches du patron ! Là, repas de roi. Pizza, pattes et un bout de viande. Retour (très provisoire) à la vie normale, un repas, une douche (chaude, enfin), un lit. Demain, faut sortir des Alpes, atteindre Doussard. Je décide de profiter du lit au maximum. Couché vers 2h du mat, je décide de repartir vers 7h30. 7h, le réveil sonne, mes chaussures et mes fringues ont séché sur un radiateur poussé à fond toute la nuit. Petit déj à base de pain, confiture et café, et ça repart. Loic est déjà reparti, vers 5-6h. Je le rattraperai dans l’Iseran. Loic est là, arrêté au bord de la route, assis, il en peut plus. Je lui gueule dessus. Bouge toi le cul ! Je lui renvoie la motivation qu’il m’avait offert la veille. Je décide de l’attendre en haut de l’Iseran. 13h40, sommet de l'Iseran, Pierre Latreche mange une barquette de frites. On décide d’attendre Loic au sommet. On fera la descente tous les trois jusque Bourg Saint-Maurice. A Bourg, je décide de m’arrêter manger un bout au Charly's Factory, le restau d’un pote, c’est plus ou moins l’heure du repas de midi à 15h30. Je perds Loic et Pierre qui ne veulent pas s’arrêter. Je repars seul, 1 heure plus tard, je regrette amèrement de les avoir perdu. Direction le Cormet de Roselend et de nouvelles aventures !

https://www.strava.c...ties/3922358570

Ce message a été modifié par seb24s - 24 février 2021 à 13h19.

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#8 L'utilisateur est hors-ligne   macmini95 

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Posté 24 février 2021 à 13h48

sympa ton compte rendu du Galibier ... de la Grave de la Meije ... mais comme j'imagine la dureté de l'effort :blink:
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#9 L'utilisateur est hors-ligne   didier95 

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Posté 24 février 2021 à 20h41

Vu la distance globale t'as de quoi écrire un roman :) Ca me motive pas trop à m'engager dans ce genre d'aventure avec cette approche "je fais comme je peux" mais c'est surement mon âge avancé/le souci d'un minimum de confort qui parle :D
Respect en tous cas !

Ce message a été modifié par didier95 - 24 février 2021 à 20h42.

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