[Grelots]

Dégécyclo, le 09 février 2021 à 16h57, dit :

Ah c'est sans doute pas mal le live tracking, il faudrait que je voie sur Bryton Active si c'est possible

Intéressé aussi de savoir

[macmini95]

Sur Strava cela existe ...a voir si c'est une option payante

[Monacall]

macmini95, le 09 février 2021 à 17h24, dit :

Sur Strava cela existe ...a voir si c'est une option payante

Oui sur Strava, c'est l'option "beacon". Même principe que le live tracking Garmin.
Les 2 sont compatibles par synchronisation des comptes.
D'ailleurs, je n'arrive plus à la faire fonctionner depuis quelques temps mais c'est un autre problème sur lequel il faut que je me penche sérieusement afin de réactiver cette option que j'utilisais et trouvais TRES utile/sécurisante!

Et oui, l'option beacon est comprise dans l'abonnement donc payante

[macmini95]

Via Google tu peux également partager ta géolocalisation

[Dégécyclo]

Cool merci du tuyau

[gibon]

Attention quand même en cas de sortie longue. De ne pas vider la batterie du tel.

[didier95]

C'est clair que la tenue dans le temps est limitée ! Sur mon Iphone 8 en mettant une appli comme wahoo à tourner pour le capteur de fréquence de pédalage s'il est pas a 100% en batterie au moment du départ au bout de 3 h de sortie quand j'arrive il est coupé et je perds donc tout... Prévoir une batterie grosse capacité branchée dessus !

Ce message a été modifié par didier95 - 09 février 2021 à 20h28.

[Lancia]

Sur Garmin c est gratuit; un lien par mail est envoyé aux personnes de ton choix,
Il y a aussi l alerte chute. En cas de chute un sms est envoyé à des contacts prédéfinis.
Tout fonctionne dans 90% des sorties.
Parfois sans comprendre, cela ne fonctionne pas .

[Grelots]

Lancia, le 09 février 2021 à 20h50, dit :

Sur Garmin c est gratuit; un lien par mail est envoyé aux personnes de ton choix,
Il y a aussi l alerte chute. En cas de chute un sms est envoyé à des contacts prédéfinis.
Tout fonctionne dans 90% des sorties.
Parfois sans comprendre, cela ne fonctionne pas .

Sur les compteurs garmin ou sur l'ensemble de leur montres GPS?
Comment détecte t-il une chute?

Ce message a été modifié par Grelots - 10 février 2021 à 08h01.

[didier95]

D'après ce qui en est dit sur le net ça n'a pas l'air au top leur truc chez garmin, si tu veux un truc efficace achête toi ça https://itigic.com/f...-a-fall-sensor/

Sinon il y a une vidéo ici https://www.youtube....h?v=b0sZ95hfmiE

Ce message a été modifié par didier95 - 10 février 2021 à 08h41.

[macmini95]

Trop jeune pour moi

[Cricri Damour]

Une bonne galère que j’ai vécue. Aujourd’hui j’en rigole, mais en ai aussi des frissons rétroactifs, surtout vu le contexte local, alors que sur le moment j’étais tellement anesthésié que je ne me rendais pas vraiment compte.

J’ai participé à un ultra VTT en Afrique du Sud, en plein désert et en plein été (local, décembre chez nous) et pile pendant LE pic de chaleur record qu’a connu le pays : 54 °, à l’ombre… or il n’y a pas d’ombre dans le veld. La chaleur était tellement insoutenable, avec le vent de face en plus, que j’ai jugé plus prudent d’abonner après 36 heures de rôtissoire. Car moi, voyez-vous, je ne suis pas Mike Horn.

Il faut savoir aussi que là-bas, les participants à cette course (The Munga), ne sont pas biberonnés comme ici. En cas d’abandon au milieu de la pampa, démerde-toi !

Donc j’ai abandonné après 400 km et deux nuits blanches. Par chance, en même temps qu’un concurrent local. Car lui, il a simplement pris son téléphone et appelé Madame :

-Hello Darling, faut venir me chercher à Britstown. Je t’attends, see you, cheers.
-Ok, j’arrive.

Il faut savoir que Madame se trouve à Johannesburg… et que c’est à 1000 km !
10 heures plus tard, Madame était là. C’est beau, l’amour !

Monsieur a été d’accord de me déposer à l’aéroport de Kimberley à 250 km. Mon intention était d’y louer une bagnole pour me rendre à l’arrivée de la course aux environs du Cap, à 1000 km. Là où se trouvent toutes mes affaires et mes bagages… ainsi que mon passeport !

En effet, je n’ai sur moi que ce que je porte, mon téléphone, ma carte de crédit, un peu de cash. Je n’ai qu’une copie papier et des photos numériques de mon passeport. Ajoutons encore que je suis venu seul dans ce pays et que je n’y connais personne.

Monsieur envoie Madame, qui a roulé toute la nuit, boire un café, nous chargeons les VTT dans le coffre, récupérons Madame et en route.

Aéroport de Kimberley, Le gars me dépose devant l’alignée d’une dizaine de loueurs : Hertz, Avis, Europecar, etc. Et là, personne ne veut me louer un véhicule. Sous différents prétextes, non nous avons tout loué, impossible sans l’original de votre passeport, Sir. En fait, voire débarquer un gars look mort-vivant après 2 nuits blanches sur le vélo, tout crasseux, recouvert d’une marinade infâme de crème solaire, poussière et sueur, avec de plus un VTT dans un état assorti, ben cela ne le fait pas : ici, on est habitué aux costards/cravate, attaché-case et souliers cirés/vernis, voyez-vous.

Purée, que faire ? Faut-il donner un dessous de table ? Je n’ai pas grand-chose en cash sur moi. Toute la fatigue de la course m’est retombée dessus, j’étais mou, sans vraie réaction, incapable d’hausser le ton envers des gens dont la plupart selon moi ont eu leur poste grâce à la discrimination positive (=raciale) mise en place par le gouvernement. Et franchement, m’énerver avec des gens qui n’ont pas envie de bosser, et encore moins de rendre service, je n’en avais pas l’énergie. Je ne vais quand même pas aller jusqu’au Cap par la route, 1000 km, à vélo dans cet état ?

Heureusement, le gars qui m’avait auto-stoppé jusqu’ici était resté un moment sur le parking. Lorsqu’il m’a vu ressortir des bureaux de location les uns après les autres, il est venu s’enquérir du problème.

Le gars et Madame sont entrés dans le premier bureau, en haussant fort le ton dans leur langue locale. Et miracle, le préposé a décroché son téléphone pour parler à je ne sais qui… et 3 minutes plus tard, j’avais les clés de la voiture ! Sans passeport et sans payer de bakchich !

Ensuite, il n’y avait plus qu’à rouler 1000 km pour aller chercher mes affaires, dans cet état… mais ceci est une autre histoire.

A+
Cricri

Ce message a été modifié par Cricri Damour - 10 février 2021 à 18h05.

[stanhelmut]

Ah ouais , là , ça cause , comme histoire ! C'est autre chose que les aventures de Jean-Paul Bideau !
1000 km en bagnole , t'as quand même récupérer du sommeil avant de les faire ?

[Cricri Damour]

stanhelmut, le 10 février 2021 à 18h13, dit :

Ah ouais , là , ça cause , comme histoire ! C'est autre chose que les aventures de Jean-Paul Bideau !
1000 km en bagnole , t'as quand même récupérer du sommeil avant de les faire ?

Oui, 1000 km en bagnole, assis sur mes fesses massacrées par les frottements sur la selle… la crème chamois que j’utilise habituellement n’avait pas supporté la chaleur, et mes fesses en ont fait les frais (frais, ouais, vu la température, ce terme n’est pas le plus adéquat…)

Pour le sommeil, je me suis arrêté plusieurs fois sur des parkings ou des stations-service, mais que pour somnoler quelques minutes, pas moyen de vraiment dormir, l’adrénaline du moment, l’extrême fatigue, la déshydratation… et aussi la flippée car dans ce pays sévissent les pirates de la route, surtout ici sur la route principale Johannesburg-Le Cap, et que de manière générale la criminalité violente en Afrique du Sud est très importante (j’avais vu 2 meurtres en 1 semaine lors d’un autre séjour quelques mois auparavant).

Si tu veux plus de détails sur cette course absolument folle, c'est ici:

https://christophequ...27/the-munga-2/



A+
Cricri

Ce message a été modifié par Cricri Damour - 10 février 2021 à 19h54.

[Dégécyclo]

totalement surréaliste!! Rien que le concept et ta perf, parce que 400 km sous ce climat ça déchire!!
Mais même le mec qui siffle Madame à 1000 km, soit il l'a dressée, soit ils sont barges, et j'ai plutôt l'impression que c'est le côté totalement déjanté qui l'emporte...
Génial ton blog Cricri

Ce message a été modifié par Dégécyclo - 10 février 2021 à 19h01.

[Cricri Damour]

Dégécyclo, le 10 février 2021 à 18h53, dit :

totalement surréaliste!! Rien que le concept et ta perf, parce que 400 km sous ce climat ça déchire!!
Mais même le mec qui siffle Madame à 1000 km, soit il l'a dressée, soit ils sont barges, et j'ai plutôt l'impression que c'est le côté totalement déjanté qui l'emporte...
Génial ton blog Cricri

Ce pays, c’est autre planète. Que dis-je, une autre galaxie. Tout y est différent, le dépaysement est total. Rien à voir avec nos sociétés ultra cadrées, avec des institutions qui fonctionnent, la sécurité.

Imagine déjà la différence de mentalité entre la France et la Suisse, par exemple concernant le rôle de l’Etat ou la notion de responsabilité individuelle. Là-bas, le fossé est immense par rapport à l’Europe occidentale.

Là-bas les gens sont différents, pensent différemment. Pour avoir été souvent sur place, je ne peux plus adhérer aux discours bobos bienpensants qui prétendent que sur Terre nous sommes tous pareils. Non, là-bas, les gens, blancs, noirs, hindoux, etc, pensent vraiment différemment de nous, ils sont d’une toute autre trempe. Nous sommes des mous avachis en comparaison.

J’adore y aller depuis des années, mais je suis à chaque fois content de rentrer aussi. Car mentalement, cela peut peser…

Mais on s’éloigne du sport là…

Concernant le vélo, c’est là-bas qu’il faut aller, avec des courses tout le temps partout, hyper bien organisées, avec des concepts parfois diamétralement opposés à ce que l’on connait chez nous.

Il me tarde d’y retourner, foutu Covid...

A+
Cricri

[Lancia]

Cricri , super histoire....mais quelle galère.

[Grelots]

Waouh... Respect...
A aucun moment les organisateurs se soucient du devenir de leur participants??? C'est un peu dingue? Il y a des morts parfois???

Ce message a été modifié par Grelots - 11 février 2021 à 08h16.

[macmini95]

Top ton blog ... en c'est temps obscur cela fait du bien

[Cricri Damour]

Grelots, le 11 février 2021 à 08h10, dit :

Waouh... Respect...
A aucun moment les organisateurs se soucient du devenir de leur participants??? C'est un peu dingue? Il y a des morts parfois???

C’est là une des plus grosses différences par rapport à ce que tu connais en France: la responsabilité individuelle. Tu veux te lancer dans ce truc dément ? C’est ton problème. La distance est trop importante pour tes capacités ? C’est ton problème, pas celui de l’organisateur. Tu n’as pas le niveau, l’expérience ? Ton problème. Tu pars avec seulement 5 dl de flotte pour plus de 100 km dans la fournaise sans aucune possibilité de se ravitailler ? C’est ton problème, pas celui de l’organisateur, ce n’est pas lui qui aura soif à ta place. Tu ne mets pas ta crème solaire écran total et tu es carbonisé ? C’est ton problème. Tu abandonnes au milieu de la pampa ? Ton problème.

Bref, là-bas les gens assument leur choix et décisions. Chacun est responsable de ce qu’il fait, ce n’est pas l’Etat ou l’organisateur ou une autre tierce personne.

Cela dit, j’ai quand même dû fournir un certificat médical avant la course, le tracking GPS est très au point, ainsi que le service sanitaire qui est présent sur tous les ravitaillements, avec des 4/4 médicalisés qui font des aller-retour entre chaque ravitaillement.

A+
Cricri

[Cricri Damour]

Pour en revenir au titre du sujet : vos pire galères. Une autre anecdote du même style que j’avais posté sur un autre forum.

Je ne sais pas si on peut parler de galère. Une galère, c’est quoi au juste ? C’est mental ? Physique ? Mécanique ?

La galère que je vais évoquer ici est liée au cinéma que je me fais parfois dans ma tête… et à Strava !

Une fonction intéressante de Strava selon moi est le créateur d’itinéraires se basant sur une carte mondiale des activités (Heatmap). Très pratique quand on veut rouler dans une région que l’on ne connait pas. Avec toutefois quelques réserves, car on ne sait pas si la trace est sur route ou sentier vtt/gravel. C’est pourquoi habituellement je créé mon itinéraire avec une carte topo sous les yeux pour confirmer mon tracé. Mais ceci n’est pas possible partout, faute de matériel topographique précis à disposition. On peut aussi utiliser une photo satellite. Ou pas.

En mai 2019, j’ai passé quelques jours au Cap en Afrique du Sud.

Le contexte ? La semaine précédente, j’avais terminé la Joberg2C, une course VTT de 900 km en 9 étapes dans des conditions de boue dantesques, très usantes pour le matériel. Par un mécanicien du Cap, j’ai fait entièrement démonter et refaire à neuf le S-Works. Je viens de récupérer le vélo et dois le tester avant ma prochaine course la semaine suivante, la 36One MTB Challenge, un ultra VTT de 364 km.

La veille, j’ai déposé à l’aéroport Angéline (prénom d’emprunt, nom connu de la rédaction) avec qui j’ai participé à la Joberg et passé quelques jours ici au Cap. Le lendemain, j’irai chercher à ce même aéroport Béatrice (prénom d’emprunt aussi, nom également connu de la rédaction) qui sera mon assistante de course sur la 36One.

Je me retrouve donc tout seul à 10’000 km de chez moi, dans une ville à la réputation sulfureuse où je ne connais personne et avec un vélo fraichement remonté de A à Z par un gars que je ne connais pas et que je n’ai pas testé (le vélo, pas le gars ).

Pour tester le bike justement, il faut que je roule. Ouvrons Strava et jetons un œil à la carte mondiale des activités. Mon intention est de tourner autour de Table Mountain depuis Waterkant avec retour via Hout Bay. Par où passer pour s’extraire de la ville ? Ah, un trait est bien épais, c’est donc par-là que je vais passer. Clic, clic et clic, ok 68 km, 1000 d+, enregistrer, charger dans le Garmin. Et en selle !

Pour les premiers km, vu la fréquentation selon Strava, je m’imaginais une piste cyclable ou quelque chose d’agréable à rouler. Mais non : pour sortir du centre-ville, j’emprunte une 4 voies avec un gros trafic et des feux rouges tous les 200 mètres. Je m’interroge : ce n’est pas possible que les cyclistes locaux roulent sur ce genre d’itinéraires. En fait, j’ai eu le déclic plus tard, trop tard : ce tracé est celui de la Cape Cycle Tour, la plus grande course cycliste du monde avec ses 35’000 participants. Et avec un peloton aussi gros, il faut de la place sur les premiers kilomètres. Et un peloton aussi gros, ça fait un gros trait sur la carte mondiale des activités de Strava.

Le quartier n’est pas folichon du tout. Là, c’est clair que j’ai quitté le ghetto des gens friqués de Waterfront pour arriver dans la vraie vie. La pollution est infernale, des gens désœuvrés errent sur les trottoirs, avec des détritus partout. Je dois m’arrêter à tous les feux rouges, avec des gars à côté qui me regardent de travers. Je suis le seul visage pâle et n’en mène pas large, même que selon moi ça craint. Mon cardio est 20 pulsations plus rapide que d’habitude.

Depuis quelques feux, un minibus Toyota Quantum s’arrête systématiquement à ma hauteur, ou plutôt un peu derrière, ce qui fait que je dois tourner la tête pour le surveiller. La portière coulissante est ouverte à 2 mètres de moi avec à l’intérieur du bus des blacks qui me fixent d’un air pas commode. J’ai le gros gros stress : j’appelle ça le stress au carré. Pour l’instant, le vélo fonctionne heureusement parfaitement. Je suis prêt à prendre la tangente au moindre mouvement hostile. Je suis 100% attentif à mon environnement…

Le feu passe au vert, départ à bloc pour essayer de passer le feu suivant au vert aussi. Mais non, à chaque fois nouvel arrêt, puis arrivée du Toyota avec la portière ouverte… Ici, les gens respectent les feux tricolores, alors je ne passe pas au rouge. Car je n’ai pas du tout envie d’avoir affaire avec la maréchaussée locale.

Après plusieurs dizaine de minutes qui m’épuisent mentalement et physiquement, la voie semble enfin se dégager devant. Mais j’ai l’impression que je vais me retrouver carrément sur une autoroute. J’ai un doute, je ne me rappelle plus si dans ce pays les panneaux autoroutiers sont bleus ou verts. Coup d’œil au Garmin : oui le tracé passe bien par-là, damned !

Là-bas au fond sur la droite, j’aperçois un quartier de maisons individuelles. Ça me parait bien plus sympathique. Pour y accéder, je coupe hors route, merci le VTT, et m’enfile sous un viaduc autoroutier.

Et là dans la pénombre M#RDE je me retrouve au milieu de plusieurs dizaines de SDF ! Avec les caddies, les cartons et les immondices, oh put#####n ! Mon stress monte au cube. Je mets les watts pour m’extraire de là aussi vite que possible, en évitant d’écraser quelqu’un, vite vite vite avant que quiconque ne puisse réagir à ma présence. Purée, mais qu’est-ce que je fais là, moi le privilégié par mon lieu de naissance et avec mon matériel de luxe au milieu d’une misère aussi crasse, et cela pour une raison aussi futile que rouler à vélo ?

Me voilà enfin dans un quartier plus accueillant, de la verdure, des palmiers et des bougainvilliers en fleurs dont le parfum contraste avec la précédente puanteur de gasoil. Mon stress retombe un peu, j’ai les jambes tremblantes, et il faut que Garmin recalcule l’itinéraire. Alors cool, mon petit Cricri. Ouf, quel idiot je suis quand même, à me faire un cinéma pareil. Car finalement, il ne m’est rien arrivé ni dans ce coupe-gorge et ni avec ces gaillards dans le Toyota qui n’était peut-être après tout qu’un taxi collectif. Ici tout me parait plus calme, plus sûr…

Et soudain devant moi… un cadavre ensanglanté sur le macadam ! Et visiblement pas une victime d’un accident de la route ! 2 ou 3 cônes rouges sur la chaussée, une voiture de police. Purée, cette fois mon stress monte directement au carré du cube, car c’est arrivé il y a quelques minutes à peine. Les passants n’en font pas cas, il n’y a pas d’attroupement de badauds, c’est visiblement la routine par ici. La police n’a même pas recouvert le corps d’une couverture. Cette flaque de sang … Et ce n’est pas du cinéma, c’est la vie réelle mon petit Cricri, et la vraie mort, pas belle ! C’est mon deuxième cadavre en l’espace d’une semaine : à Durban, Angéline et moi avions eu droit au même spectacle devant notre hôtel.

GAZ pour m’éloigner au plus vite et retrouver des routes plus sympas. Où enfin je peux souffler un peu.

Ces 20 premiers kilomètres m’ont plus épuisé qu’une course de plusieurs heures à bloc.

Ce fut une sortie très intéressante.

A part ça, cette fonction de création d’itinéraires basée sur la heatmap de Strava est très bien.
Et l’Afrique du Sud aussi.


A+
Cricri

Ce message a été modifié par Cricri Damour - 11 février 2021 à 10h44.

[macmini95]

De quoi écrire un bouquin ton périple en Afrique du Sud

[Mrtanguy]

Pour ma part j'ai eu deux petites galères récemment à la suite ! Youpi

Fin Octobre dernier petite sortie tranquille à 3/4 Km de chez moi sur la route du retour ma chaine casse obligé de finir à pied en plein froid c'était pas sympa sympa.

Après avoir changer ma chaîne je décide de ressortir quelques jours plus tard voir 1 semaine après.

Je fais 1 voir 2 km, petite descente pour me chauffer afin d'accélérer un peu le rythme et tout à coup je dois prendre une voie de tram (oui Nantes c'est pas hyper bien foutu parfois....). J'ai eu 1/2 sec d'absence ce qui a glisser ma roue avant dans un rail de tram s'en est venue la chute assez lourde je dois l'admettre car je n'ai pas pu décliquer mes pieds !

Un retour à pied/vélo difficile j'ai peut être dû mettre 30 min pour faire à peine 2 Km. Puis petit tour à l'hôpital pour des liaisons au doigt et au genou.

Au final rien de cassé ouf, juste une grosse frayeur et un doigt qui m'a été douloureux pendant 2/3 mois sans explication ! (Merci la chiropractrice d'avoir réglé ça!)

Moral de l'histoire Vélo + Rail mauvais mélange et le casque sauf ta tête

Toujours être attentif sur la route

[Lancia]

Ouf pas de grosse casse.
Pour la chaîne, j ‘ai toujours sur moi une fausse maille. Pas cher, facile et léger... ça m ‘a dejà bien aidé
Pour la rail.... j ‘ai bien une solution, rouler plus large

[macmini95]

Arfff le rail c'est vrai que ça fou la trouille pas cool !
La chaîne c'est ma hantise aussi !

[Lancia]

La Fausse maille ne pas oublier...en 2 secondes
C ‘est en 2 pièces, 2 euros, 2 grammes, 2 minutes et c ‘est reparé et deux retour sur le route

Et ta chaîne est 2 ² fois plus facile à laver

[Buxkopf]

trois crevaisons pour moi le même jour !

tu es content quand un copain est avec ce jour là !!!

[macmini95]

Oui il faut que je me trouve ça Lancia
3 crevaisons c'est vraiment la loose

[didier95]

Depuis la reprise j'ai eu 5 soucis, mais séparés heureusement..
=> Rayon cassé pas loin donc retour au bercail tranquille
=> Roue libre qui colle (trop de graisse) pas loin donc retour au bercail tranquille
=> A plat direct de l'avant pas loin donc retour au bercail tranquille à petons, j'avais rien pris pour réparer
=> A plat direct de l'avant et cette fois réparation bord de route avec une chambre d'avance cette fois
=> Retour dernière balade avec crevaison arrière lente et pluie en cours donc pas question de se salir les mains et attendre qu'il pleuve d'avantage et ça c'est soldé par un arrêt regonflage et retour tranquille !

Ce message a été modifié par didier95 - 16 mars 2021 à 18h06.

[kouros]

Allez à mon tour pour ma petite galère.
Bon, c'est pas récent ça remonte à une quinzaine d'années.
Dimanche matin, Parcours du coeur organisé par mon village, j'accompagne ma fille (qui avait une dizaine d'années et un nouveau vélo).
Sortie en groupe à travers la campagne et les bosquets. La papa bien fier sur son VTT suspendu, gros pneus cramponnés, pédales à cales, bidon sponsor, lunettes de soleil, débardeur et short et tout et tout.
Une ornière, de la boue, la frime et paf je me vautre dans un beau buisson d'orties
Rire des enfants, sourire retenu des parents et plein de boutons partout qui ont démangé toute la journée.
Un bon souvenir quand même